LA CROIX 5 janvier 2022 Extrait
Selon le
président de l’Association française d’information
funéraire, Michel Kawnik, l’impact écologique de la méthode
de sépulture est de plus en plus pris en compte dans la
société : « Il y a une volonté de polluer le moins possible
pour son dernier départ et aussi de simplifier les obsèques
», décrit-il. |
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