SUD OUEST
1er novembre 2000
   Extrait

Reste  que  cette « mode »  des   ob-
sèques préparées par avance ne plaît
pas  à  tout  le monde, surtout quand
elle  met  en  jeu des sommes parfois
rondelettes,  jusqu'à  50 000   francs.
«  Il s'agit  surtout  d'un  produit mar-
keting,   explique   Michel  Kawnik,
de   l'Association  française   d'Infor-
mation  funéraire  (3).  Plus    simple-
ment,   on   peut   financer   ses   ob-
sèques  par  un  compte  bancaire ou
un  compte  d'épargne  et  prévoir  le
détail de  la  cérémonie par une lettre
à  conserver dans  le livret de famille,
la  lettre ou même la déclaration ora-
le   ayant,   la   même   valeur   qu'un
contrat.  De  plus,  le coût  de  obsè-
ques  baisse régulièrement et  les dé-
penses  au jour du décès sont  statis-
tiquement  inférieures de  25 % à  ce
qui était prévu au départ... »             

       (3) Totalement indépendante, l'AFIF
dispose d'une permanence téléphonique
au  01.45.44.90.03  et   d'un   site  Internet
très complet au www.afif.asso.fr               

 

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