13 juin 2000 : courrier de la société d'assurances ... à Madame B. 18 septembre 2000 : lettre de Monsieur G. à un organisme de consommateurs
Envoi à l'AFIF le 14 décembre 2000 Cher Monsieur, Je tiens tout d'abord à vous remercier pour votre accueil exceptionnel
car dans la société d'aujourd'hui, peu de personnes décident, comme
vous, de prendre les problèmes "à bras le corps". Monsieur G.
13 juin 2000 : PLAN D'EPARGNE POUR OBSEQUES OBJET : Rachat Total Chère Madame, Suite à votre demande de rachat du contrat cité en référence, nous vous confirmons notre courrier du 17 février 2000. Les Pompes Funèbres .... ne nous ont pas autorisé à effectuer le rachat de votre contrat. En effet, en tant que bénéficiaire à titre onéreux, il doivent donner leur accord au rachat de celui-ci. Nous vous rappelons que votre conseiller financier, POMPES FUNEBRES ..., se tient à votre entière disposition pour vous apporter tout renseignement complémentaire que vous pourriez souhaiter recevoir. Nous vous remercions de la confiance que vous nous témoignez, et vous prions de croire, Chère Madame, en l'expression de nos sentiments distingués. La
société d'assurance
18 septembre 2000 : Madame, En relisant l'un de mes numéros de "...",
le numéro de novembre 19.., je remarque "l'appel à témoins"
concernant les litiges avec les assureurs. Voici ce qui est arrivé à une dame seule de 92 ans que
j'aide dans ses démarches administratives ou médicales. La dame qui a souscrit ce contrat auprès de la
société d'assurance sous le n° xxxx du 31-12-1993 est
Madame B., adresse : xxxxx. Elle n'a pas de famille et n'a désigné aucun
bénéficiaire pour le solde éventuel (Ce n'est pas une volonté : on ne
lui a rien demandé...). Or, au 31-12-1999, son épargne nette acquise s'élevait
déjà à 32.800 francs alors qu'il s'agit de simples obsèques sans frais
exceptionnels. Enfin, le "médiateur des assurances" que j'ai consulté s'est contenté de faire la "boîte aux lettres". Je crois que nous sommes devant une pratique scandaleuse qui touchera de plus en plus de souscripteurs de contrats obsèques. Avec mes remerciements, je vous prie de croire, Madame, à l'assurance de mes meilleurs sentiments. Monsieur G. Lettre insérée sur internet en décembre 2000.
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