Jean, tu es parti à pas feutrés,
Ta maladie t’a emporté.
Je
ne comprends pas toujours pourquoi
Elle
t’a séparé de moi !
Mon
amour de Jean
Tu
me manques déjà
Tu
étais toujours présent
Maintenant,
tu n’es plus là.
Tu sais notre pente n’a pas toujours
été très douce
Mais
nous avons toujours su, à
nous deux la remonter.
Jean,
tu a toujours été très carré, très droit
Et
j’ai toujours été fier de toi
Aujourd’hui
encore tu as été très
fort
C’est
toi qui nous a rassuré avant
ta mort
Tu as pris le temps tout sereinement de dire au revoir
A
ta famille et à tes amis qui venaient te voir !
Je
suis sûre que tous autant que
nous sommes
Nous
pouvons te dire Jean ! tu étais
un grand bonhomme !
Mon amour de Jean,
j’ai une grande tristesse !
Je
ne pourrai plus te voir, t’entendre, ni te caresser
Je
n’sentirai plus ton cœur, battre pour moi sans cesse
Quand on s’aime, on n’devrait jamais se quitter
Tu
n’as pas choisi, c’est la maladie
Qui
t’a emporté, mon petit mari
Mon
dieu pour l’amour de mon Jean chéri !
Gardez
lui une place dans votre paradis !
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