MORALISER LE MARCHÉ FUNÉRAIRE
Enterrer ses
morts, oui, mais pas à n'importe quel prix. Or,
profitant du désarroi et de
l'ignorance des familles, de
nombreuses entreprises
(Pompes Funèbres, marbre- ries, fleuristes...)
liées au <<marché de la mort>> qui re-
présente tout de même 15 à 20 milliards de
francs par an, pratiquent des tarifs prohibi
tifs : le cercueil en chêne ca- pitonné serait un
plus grand signe d'affection que le mo-
dèle de base en sapin ! Pour faire cesser les abus,
l'Asso- ciation française
d'informa- tion funéraire (AFIF) regroupe
des entreprises qui s'enga-
gent à fournir des prestations claires et
précises, à des prix sans équivoques. Un service
télématique, 3615 code AFIF, permet
de recevoir toutes ces
informations chez soi, sans pression
commerciale. L'idéal : le consulter
avant d'en avoir besoin, ne serait-
ce que pour se familiariser
avec le vocabulaire et les us et coutumes
des obsèques, et être ainsi moins désempa-
ré le jour où l'on doit s'en oc- cuper pour de
bon.
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